J'ai longtemps revendiqué un coté empathique dans ma démarche, je pense que je vais arrêter (maintenant que c'est bullshit-hype, et que ça se fait descendre en flammes dans ton article :P).
Néanmoins, je suis un peu gêné par la première partie de l'article :
Dans mon environnement pro (UX/UI dans un environnements assez techniques, chez des grosses boites), c'est précisément une grosse part de la plus-value apportée par mon taf : une approche empathique. Comme l'explique très bien Cabaroc, pour moi, c'est "juste" un outil de recueil d'information, une posture d'écoute. Les étapes ultérieures d'analyse, de filtrage et de traductions sont bien entendu capitales (en mode "j'écoute attentivement sans prendre les choses pour argent comptant"). Il m'est arrivé beaucoup de fois de deviner ou de lire des besoins capitaux pour le client dans les non-dits de l'expression de leur besoin, dans les demandes mal formulées. Sans une posture empathique, tout ceci passe à la trappe. En forçant le trait, on peut comparer le travail de conception à une "maïeutique", ou une psychanalyse.
Enfin, autre chose, dans ton article, tu as une approche que je trouve assez spécifique aux projets avec des composantes "branding", "communication" ou "image" assez fortes. Il y a également des projets où l'aspect "outil"
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